Boomrang Fufufu.

Nom : Même si j’ai revêtis bon nombres de patronyme tout au long de ma vie, Boomrang (Faute volontaire) reste à ce jour, celui que l’on m’attribut le plus souvent.

Age : Jeune Adulte, célibataire et libre comme l’air ! Et qui plus est, qui s’assume pleinement.

Sexe : Si j’avais pu taper mes pectoraux à ce moment, je l’aurai fais : Masculin / Étalon sans peur ni reproche.

Position : Quand vous allez le savoir, ça vous fera un choc ! En effet, je suis le fidèle destrier de celui que l’on nomme qu’en chuchotant, de peur de se faire flinguer; Le seul ! *roulement de tambour*, L’unique !! *roulement de tambour qui s’estompe pour laissé place au silence* Jo. Surnommé « Jo le clodo » en vue de son attrait pour les boissons alcoolisées et les femmes.

Caractère :

Héhé, je suis un sacré numéro vous allez voir ! Même s’il est particulièrement difficile de se décrire moralement en restant un minimum objectif, je vais faire au mieux pour étancher votre soif quand à votre envie de me connaître. Tout d’abord, j’ai mauvais caractère cela je vous le concède ! D’ailleurs, l’attribution du nom Boomrang à ma personne n’est pas anodin. Oui, j’ai la fâcheuse tendance à être harem… rancunier ? Oui voilà rancunier c’est exactement le mot que je cherchais, je reviens souvent à la charge comme le retour du Boomrang, je suis aussi prévisible que lui ! Je prend mal le fait d’être humilié, d’être piègé ou encore de subir des quolibets. Si c’est le cas, soyez sûr que je vous rendrai la pièce de votre monnaie ! En passant, la citation « Qui sème le vent, récolte la tempête » me va à merveille non ? Pas que je sois spécialement belliqueux mais je ne me laisse pas marcher sur les sabots. Quand quelqu’un ou quelque chose me déplaît, soyez certain que je le ferai savoir. Ce côté franc parlé m’attire souvent des ennuies et blesse pas mal de mes congénères que mon existence m’a amené à connaître. Seulement, je n’y prête guère attention sur le moment présent. Je suis l’archétype même du cheval parfait Héhéh *immense sourire de crâneur* comment ça non ? Yare yare il est vrai que parfois *roule des yeux* je suis assez chiantique comme personnage. Surtout lorsqu’il s’agit de me nourrir ! Si le délais du repas est passé depuis dix secondes, soyez sûr que y’aura du coup de sabot dans l’air !


Autrement, je vais poursuivre en dégradé la présentation de mon caractère ma foie, assez trempé. Après avoir abordé ma phase plutôt noir, je vous l’accorde, je vais creuser un peu plus profond pour vous parler de la flamme qui m’anime en permanence et ce, depuis fort longtemps. Je ne suis pas comme bons nombres d’étalons qui roucoulent et papillonnent à la vue de la première jument qui passe sous leur museau, non. Pour ma part, mon physique de déménageur ne me permet pas d’accéder à ça et cela je l’ai compris depuis longtemps. Pour cause j’ai « choisis » la vie de destrier au service d’un de ces fiers êtres les Cow Boy ! Les soirées près du feu bien arrosées tout en mangeant des flageolets périmés depuis deux trois jours, le son du banjo, des coyotes dans l’obscurité de la nuit, les jours qui passent et ne se ressemblent pour ainsi dire jamais, l’aventure en somme ! C’est ça la vie d’un Cow Boy de l’Ouest. Oh bien sûr je ne vous cache pas que tout est toujours bien dans le meilleur des mondes, je me suis surpris à ne de nombreuses reprises à suer à grosse gouttes quand venait l’heure du duel entre un type plutôt chaud et mon « Jockey » . Il y’a toujours la peur de perdre son maître mais bon… Jo est le meilleur ! Quand il oublie pas ses revolvers dans le premier saloon qui passe….

Enfin, derrière cet étalon aventurier au caractère plutôt revêche, rebelle, se cache quelque un de… très observateur ? Je en suis pas aussi écervelé que j’en ai l’air ! Je m’intéresse pour ainsi dire à tout ! Ma curiosité naturelle m’amène à m’interroger sur le fonctionnement de telle chose, je garde des yeux pour voir et une cervelle pour comprendre. Bien qu’il m’arrive à de nombreuses reprises de me laissé guider par mes passions, je sais garder la tête froide surtout lorsque la situation du moment l’exige. Bref, j’aime beaucoup observer ! Vraiment, je trouve qu’on apprend plus sur le monde qui nous entoure ainsi. Hormis cela, si on ne me cherche pas des crosses, je suis un cheval tout ce qu’il y’a de plus sympa. No animosité, No problèmes, j’aime amuser la galerie… à ma façon Héhé. Question courage, j’en ai à revendre, je ne fléchis pas devant tout et n’importe quoi, même si mon caractère plutôt préventif me pousse que trop souvent à défendre ceux que je qualifient comme faisant partie de mon « entourage ».


Physique :

Là, ça ne va pas traîner je pense ! J’aime pas trop mon physique qui me fait différent des autres m’enfin bon, je vais pas me plaindre, y’a pire *crâne à mort*. Commençons par mon allure générale qui elle s’apparente à celle de tout étalon qu’il est possible de voir « galoper » librement dans les prairies verdoyantes du pays. Je suis muni de quatre membres (Donc, quadrupède) plus massifs que ceux de la plupart de mes compères. Clairement… je suis plus épais que tout les autres ! Si bien que cela fausse tout de moi mais reste cependant, une bonne arme. Là où d’autres chevaux viendraient à tomber, harassé de fatigue, je tiendrai plus longtemps qu’eux en vue de ma robustesse physique qui me confère un corps plus endurant, plus puissant, plus… impressionnant ? Même si je perd de la vitesse, je gagne un énorme avantage en échange. J’intimide ! Ce qui calme bien souvent les ardeurs et dissuade très vite de tenter quoi que ce soit contre ma personne.

Maintenant, plus en détail en attaquant le descriptif de mon visage. Qui lui se trouve être des plus grossiers en vue de mon museau chevalin, tout aussi épais que le reste. Mes naseaux profilés et en contre partie, fin, viennent à surplomber ma gueule qui laisse bien souvent entrevoir une dentition blanchâtre. Autrement, j’ai les yeux revolvers ! Je fusil tout naturellement du regard, tout être/chose qui serait susceptible de m’intéresser. Pas que je le fasse exprès mais cela semble déplaire, paraît que j’ai la tête d’un tueur d’après Jo, après ça vaut ce que ça vaut, je ne vais pas m’arrêter de faire cela pour autant ! Je vous entend déjà « Un vrai bourriquot ce cheval », oui s’il fallait à chaque fois s’arrêter sur l’opinion que chaque personne a de vous, on s’arrêterai pas de changer. En revenant à mon museau, il faut noter que la couleur de celui-ci blanchit au point d’être en total contraste avec la couleur de ma robe, marronnâtes.

Enfin, je suis munit comme tout cheval, d’une épaisse crinière qui se trouve être aussi sombre que le box lorsque la nuit vient à tomber. Parcourant la totalité du haut de mon crâne en passant par la nuque, elle s’arrête à la fin de celle-ci. J’ai toujours adoré mon crin… enfin bon, on ne va quand même pas polémiquer dessus pendant deux heures, ma queue quant à elle, est similaire à ma crête qui me sert de coupe de cheveux, de la même couleur, elle en vient souvent à balayer le sol sans que je m’en rende forcément compte.

Histoire :

Curieux destin que le mien…

Je suis natif d’une région où il faisait bon de vivre. Les oiseaux batifolaient librement dans l’infinité du ciel bleui tandis l’herbe verte et fraîche, se gorgeait des effets bienfaiteur du soleil toujours à son zénith. Je me souviendrai toujours de ce lieu mystique que les fiers cow boy de notre ère nommaient et nomme encore, Eldorado. Peut-être était-ce simplement un rêve ? Mais tout était d’or ! Je me souviens des cascades resplendissantes qui venaient abreuver les habitants de cette prairie, je me souviens des forêts si mystérieuses, que personne n’osait franchir de peur de finir en casse croûte pour les Pumas et autres animaux se nourrissants de viande, je me souviens de la légère brise du matin qui caressait mon visage de jeune poulain, je me souviens d’oncle Earl, de cousin Teddy, je me souviens de ma mère.

« Mon petit Buse-White » qu’elle m’appelait ! Semblant flotter dans sa robe blanchâtre , aux « lèvres « écarlates, j’aimais ma mère ! Le don de vie est quelque chose que j’ai toujours admiré chez la gente féminine si bien que de m’avoir mit au monde, de cela, je lui suis éternellement reconnaissant. La vie avait voulu que mon père ne quitte ma mère avant que je naisse. Pourtant, elle, ma mère, ne semblait jamais triste. Peut-être pleurait-t-elle en silence, le soir quand je dormais à point fermé ? J’admirai ma mère ! Elle donnait toujours l’impression d’être heureuse, quand je lui demandai pourquoi, elle me répondait avec ce sourire qu’adresse toute mère à sa progéniture, ce sourire qui vous dit que tout va bien, qui vous rassure : « C‘est la vie« . Oui, c’est cela qu’elle me répondait. C’était ma mère !

Enfin, comme dans toute histoire un brin intéressante, il faut une chute ! Un évènement qui vous amène à changer , qui vous transforme, vous prend au plus profond de vous-même et vous détruit petit à petit. Pour ma part, je n’ai compris tout cela que trop tard, quelques années après… encore aujourd’hui je n’en comprends pas toute les nuances. C’était par une nuit en tout point semblable aux autres, la lune, haute dans le ciel, venait à éclairer la tribu tandis que toute les familles avaient rejoint les bras de morphées dans le royaume des songes. On sentit tout d’abord le sol trembler… ma mère leva une oreille puis deux, le tremblement se faisant toujours plus intense au fil des secondes qui défilaient. Ni une ni deux, à la vue, des ombres qui profilaient à l’orée du bois, elle m’ordonna sèchement de me lever, ce que je fit avec une extrême mollesse. J’étais très jeune et ne commençant que trop peu de chose, mes seuls plaisirs se résumaient à jouer, courir, manger, boire, dormir.

Je faisais partie de cette génération de cheval qui, contre leur grés venaient à se faire capturer pour être par la suite amenés dans des camps fortifiés, bâtis à l’effigie de l’intelligence et de la cruauté humaine. Nous étions cloîtrés entre quatre barrières de bois; l’herbe fraîche de mon Eldorado avait laissé place à un sol rugueux, rocailleux, granuleux, tandis que la vision des cascades et de la forêt avait été remplacé par des hommes qui bifurquaient entre eux, avec tout ce que leur vanité pouvait leur permettre de faire. Ils riaient, chantaient, tous dans leur uniformes bleutés. Comme par réflexe, je m’étais blottit contre ma mère tandis que les autres chevaux, venaient à se bousculer entre eux pour cause de la petitesse de l’endroit. Les jours défilaient et nous n’étions que très peu nourris mais heureusement, l’espace si restreint donnait l’impression de peu à peu s’agrandir en vue du fait que des chevaux, étaient sélectionnés pour jouer à une tombola que me disait Maman. Je ne l’avais pas compris sur le coup mais ces chevaux disparaissaient pour ne plus jamais réapparaître. C’était comme ça dans ce petit monde d’homme !

J’ai passé quelques mois ici, j’avais grandis et était devenu fort physiquement. Ma mère elle, maigrissait à vue d’œil, c’était bon pour elle de faire un petit régime qu’elle me disait. Du coup, double ration pour moi ! J’avais d’ailleurs, le droit exclusif de partir en balade avec ces hommes bleu , ma mère quant à elle dormait. J’aimais le visage de ma mère quand elle dormait ! Puis vint un jour, où elle fut sélectionné pour cette fameuse tombola. J’étais un peu jaloux sur le coup mais ça ne pouvait que lui faire le plus grand bien ! Elle avait les joues creuses et les membres tout maigrichon. Elle avait un peu trop forcé sur le régime ! Pensais-je. Les jours défilaient et se ressemblaient, moi, j’attendais patiemment le retour intempestif de ma mère. Je n’aimais pas attendre ma mère ! Une semaine, puis deux, puis trois, toujours rien. Je l’attendis six longues années. Toujours là dans ce grand enclos maintenant vide… Il pleuvait souvent, je détestais la pluie. Mais j’aimais toujours autant ma mère !

Il me fallut du temps pour comprendre, pas que je fusse stupide, mais tout en grandissant je commençais peu à peu à évaluer la possible mort celle qui était ma mère. Quand ce fut le cas, j’ai pleuré. Je détestais ma mère ! Me monter relevait de l’impossible, tout ceux qui avaient tenté la chose, avait finit à l’infirmerie. Très vite je m’étais forgé une réputation au sein du camps. Mauvaise pour moi puisqu’il décidèrent qu’il fallait m’abattre. Du gâchis selon le colonel qui voyait en moi « Une Belle Bête » personnellement ? Je lui aurai bien parlé en privé à ce colonel ! Histoire qu’il voit ce dont était capable la « Bête ». M’enfin bref, je vous ai dis que j’étais cheval de cow boy ! Je ne vous ai pas mentis ! Un soir de Décembre, alors que la neige venait de faire son entrée et glaçait mon sang, un homme pour des moins singulier fit son apparition. Il avait la réputation d’être une fine gâchette, attaché à aucune caste en particulier, il parcourait librement le pays, en quête d’aventure. Seulement, son dernier cheval en avait eu marre de lui et l’avait purement et simplement abandonné. J’étais mort de rire rien qu’à rencontrer cette énergumène qui prétendait pouvoir monter tout les chevaux, mêmes le plus réticents !

Spoiler:

Bouteille à la main, tandis que le colonel se tenait à distance, derrière lui. Il se livrait à des mouvements dégingandés si bien qu’on avait l’impression qu’il allait s’écrouler au sol à tout moment. Hilarant, j’en riais d’avance de lui casser deux, trois côtes. L’homme puait l’alcool à des kilomètres et pourtant, toujours avec ferveur, il saisissa mon museau de ses mains infectent. Et lâcha un rot dans mes naseaux. Boark !! Ça puait ! Je me souviens avoir reculé brusquement, par indignation et surprise, ça me piquait les naseaux. Et lui, il riait. Il ne m’en fallut pas plus ! Rouge de rage, j’émis un hennissement de fureur avant de lui mettre un coup de sabot au niveau de l’abdomen. Il recula de douleur mais continuait inlassablement à rire. De ce rire insupportable qui vous fait monter la moutarde au nez ! Prêt à l’achever pour son « impudence » le colonel s’écria : « Faites attention Jo ! » Le cow boy, regarda alors son interlocuteur toujours avec ce même sourire et lui dit ces quelques mots qui résonnent encore aujourd’hui dans mon esprit : « Héhé, je vais mourir… C’est la vie ! ».

Je m’arrêta alors si… si subitement. Ces mots je les avaient déjà entendu quelque part… ma mère ! J’aimais ma mère ! Je me mis à regarder ce dénommé Jo qui stupéfait de mon action, se leva. Droit comme un piquet, je l’observais avec… intérêt ? Je ne sais ce qu’il se passa chez moi mais, je me souviens l’avoir laissé me monter. A y’est c’était fait. Sur mon dos, il caressa ma crinière et me susurra à l’oreille : « Toi, je vais t’appeler Boomrang ! Hic… j’achète hic, ce ch’val ! Hic ! ZzzzZ » Complètement torché, il s’était endormis sur mon dos. Le reste de mon histoire ? Je vous laisse l’imaginer !

To Be continued.



Prénom : Call me Rob, Baby ;D
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Age : 17 printemps '-'
Comment as-tu connu le forum ? Partenariat
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Autre : Nothing.

Coucou & bienvenue tête de cochon...
(ou Cochon Horse)

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Bienvenue !

Wow, ta fiche est impecc' ! 0_0
Ou presque... il manque juste le code ! ^^

Ah ah vilain Boom Boom Bada Boom x)
C'pas bien d'oublier le code ö

Okii génial !! = )

Je te valide !!

Han..
T'auras plus de calins pour la peine ! :O

Niark niark